Portrait d’hiver 3/4 : Stefan Küng
23. janvier 2018

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Stefan Küng est de retour d’un long camp d’entraînement dans le sud et nous parle de la lecture sur le rouleau, de l’entraînement par les jours d’hiver enneigés et de ce qui lui passe par la tête quand il a tout le peloton à sa remorque.

Tour de Suisse : Cette impression est-elle trompeuse ou avez-vous réalisé un petit rêve cette année et fait une vraie pause pendant la Off-Saison ?
Stefan Küng : Oui, j’ai voyagé avec ma petite amie dans le Camper pendant 7 semaines en Nouvelle-Zélande. C’était MEGA !

TdS: Depuis combien de temps n’avez-vous PAS fait de vélo à l’étranger ?
SK: Les deux premières semaines, je n’ai pas touché au vélo. Après cela, je me suis lentement remis à la tâche.

TdS : Passez-vous plus de temps sur votre TT, votre vélo de piste ou votre scooter en hiver ?
SK: Principalement sur mon vélo de route normal, car en hiver, il est particulièrement important d’avoir une bonne base. Je n’opte pas pour cette partie, sauf s’il n’y a pas d’autre solution.

TdS: Vous avez fêté vos premiers succès sur la piste, puis vous avez réussi dans la course contre la montre ainsi que dans les courses d’un jour et les victoires d’étape que vous avez remportées dans le style classique. Quel genre de conducteur vous caractériseriez-vous ?
SK: J’adore les contre-la-montre et les classiques, c’est donc mon type de pilote ! laugh!

TdS : Qu’est-ce qui vous passe par la tête lorsque vous entrez en tête du peloton pour votre chef d’équipe et que vous poussez de façon incroyable watt sur de longues distances en tête pour que le peloton s’étende et que tout le monde s’esquive dans votre sillage ?
SK: Je me dis toujours que si je suis déjà en train de tirer toute la bande derrière moi, ça ne devrait pas être trop facile dans le sillage, c’est pourquoi je donne parfois des coups de pied particulièrement durs.

TdS : Comment s’est déroulé le premier camp d’entraînement de la saison, lorsque – comme dans votre équipe – il y a eu des changements, de nouveaux pilotes ont rejoint l’équipe, etc.
SK: Nous avons eu un super camp. L’esprit d’équipe est extrêmement bon et vous pouvez sentir que tout le monde est très motivé. Les nouveaux arrivants ont été dûment accueillis. rires !

TdS: Maintenant, vous ne passez qu’une petite partie de l’hiver dans le sud. Cet hiver, nous avons de temps en temps beaucoup de neige en Suisse. Comment s’entraîner chez soi ?
SK: Tant que les routes ne sont pas enneigées, les règles suivantes s’appliquent : faites vos bagages à chaud et réduisez votre charge de travail normale. Quand il neige, j’utilise les skis de fond et le quervelo.

TdS : Au cours de toutes ces années, avez-vous développé une astuce spéciale contre le gel des pieds ?
SK: Heureusement, je ne souffre pas de pieds sensibles. Les mains sont plus mon problème, alors j’en ai mis deux paires l’une sur l’autre.

TdS : Quand vous devez vous mettre au travail à la maison, lisez-vous un livre ?
Et quel livre serait bon pour cela ?
SK: Non, certainement pas, cela serait adouci par ma sueur. Je regarde des films ou des sports en direct sur bobine.

TdS: Qu’est-ce que vous entraînez le plus en hiver ? Persistance ? Le pouvoir ? Technique de TT ?
SK: En hiver, il s’agit d’un entraînement de base, donc l’endurance et la force sont au premier plan.

TdS: À quoi travaillez-vous actuellement – quel est votre objectif pour la première saison 2018 ?
SK: Strade Bianchi Début mars, je me suis déjà marqué en rouge.

TdS: Merci beaucoup à Stefan. Nous vous souhaitons beaucoup de succès &amp ; nous nous réjouissons donc déjà de la Strade.

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